Adrien, alias SergDady, est photographe aquatique. Sa passion ? Capturer les vagues au cœur de l’océan pour nous conter des histoires riches en intensité, éveillant nos émotions et capturant nos cœurs en plein vol.

La photographie, pour raconter une histoire

Alors qu’il se formait au dessin, Adrien a bifurqué en faculté d’Art et de Cinéma. Ce passage a été bénéfique au futur photographe car il y a appris l’art de la narration et de la décoration.

Ces apprentissages le guident toujours dans ses créations lui qui est devenu photographe professionnel autodidacte et illustrateur inspiré.

La photographie aquatique, son histoire

Canal de narration, la photographie est donc, pour Adrien, un moment à vivre avec un sujet dans une atmosphère riche en émotions. Et la photographie aquatique permet de vivre intensément ces moments d’autant plus que Adrien fait corps avec ses sujets.
« En plongeant dans cet élément qu’est l’eau, avec un angle de vue original, je peux raconter une histoire de façon plus précise et plus vibrante encore. »

La vague parfaite, shootée au cœur de l’océan

Adrien vit des sessions photos autant changeantes que marquantes avec l’océan.
Mais une session reste gravée dans sa mémoire : alors qu’il était seul à 15 km à la ronde, il a pu saisir le bon moment, matérialisé par une vague, celle qui se trouvait dans la bonne série, le bon mouvement, le bon angle et la bonne lumière. La vague parfaite pour un photographe aquatique.

C’était son rendez-vous...

« J’ai ressenti une joie profonde, celle d’avoir été là au bon endroit, d’avoir vécu un moment tant attendu et tant préparé. » Un rendez-vous inoubliable avec cette vague, à la manière du court-métrage de Claude Lelouch intitulé C’était un rendez-vous  que Adrien affectionne.
Le film met en scène un homme roulant à vive allure dans les rues de Paris afin de ne pas faire attendre son rendez-vous amoureux. Contrairement au conducteur de la voiture, interprété par Claude Lelouch lui-même, Adrien a laissé venir sa belle à lui.

« Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve »

Charles Baudelaire

« Aiguiser son propre regard sous plusieurs angles »

La meilleure façon de bien débuter ou de se perfectionner, c’est d’« aiguiser son propre regard sous plusieurs angles. »
Selon Adrien, cela permet de faire évoluer son œil et de le garder en éveil. Si vous souhaitez vous perfectionner, il recommande même d’oublier ce que l’on sait déjà et de recommencer sans se laisser influencer par ce que les autres réalisent. « Ce qui compte avant tout, c’est l’histoire que vous souhaitez raconter », précise-t-il.

Les reflex Canon pour compagnons de route de SergDady

Adrien réalise ses photos aquatiques avec du matériel Canon. Il est toujours accompagné de ses reflex Canon à miroir, le boîtier Canon 5D MK-IV, paré d’objectifs tels que le 16-35mm, le 24-105mm et le 70-200mm ; et le Canon 5D MK-II modifié, habillé d’un objectif 40mm pancake.

Côté accessoires présents dans son sac Lowepro Flipside Trek BP 350 AW, Adrien range trois autres objectifs (un 16-35mm, un 24-105mm et un 70-200mm).
Il a également bon nombre d’accessoires de nettoyage : un pinceau pour le sable, des batteries et une télécommande de déclenchement. Le trépied est accroché à l'extérieur.
Dans son sac de surf étanche de 70L, il a un caisson étanche avec un dôme pour sa focale 24-105 mm et un autre pour sa focale 70-200 mm. Ce sac reçoit aussi les outils pour ouvrir le caisson et de la graisse marine.
Sans oublier son équipement pour aller à l’eau : combinaison, gants, casque, palmes.
Et dans son sac de drone, il range un DJI Mavic 3 Classic, des filtres ND, les batteries et une radiocommande Smart Controler.

Avec Panajou, une relation de professionnel à professionnel

Adrien est client chez Panajou depuis le début : il a toujours acheté son matériel auprès de notre team qui sait lui apporter les conseils dont il a besoin en fonction de chaque projet.
Le photographe aquatique apprécie la relation de confiance de professionnel à professionnel et il confie même : « j’ai l’impression d’avoir grandi avec la team Panajou. »

Dans son collimateur de rêve, du surf au Japon

Parmi les reportages photos qu’il aimerait réaliser un jour, Adrien se verrait bien shooter une session de surf au Japon.

Le mot de la fin est à Adrien…

« Il n’y a pas de fin, ce n’est que le début ! »

Dans le sac d'Adrien :